Remords, regrets, comme un rêve brisé...

C'est comme un jardin d'hiver qui se refuse au printemps.

Tout était bien, mais ma consience ne me lâche plus, enfin non, mais si, mais... MAis je ne voulais pas faire ce que j'ai fait cette après midi, j'aurais dû prendre une autrz alternative, un autre chemin, mais j'étais acculée entre deux choix, écartelée, obligée de trancher.

Et j'ai tranché en faveur du moindre, du pas important. Je me sens l'obligation de me justifier. C'est un remords que j'ai, et un regrte à la fois, car je m'en veux d'avoir fait quelque chose et de ne pas en avoir fait une autre. J'ai agis mais pas comme il fallait.

Parce que je lui avait dit à lui que je ne pouvais pas venir, puis je lui dis qui je peux venir une heure après, mais il ne répond pas, alors j'appelle ma Demoiselle pour qu'elle vienne à Paris aussi qu'on se voit tous les trois, mais elle ne peut pas sortir de chez elle alors je décide de venir dans sa demeure mais après avoir raccroché un message qui m'appelle à Paris. Une réponse à ma demande. Je ne peux pas ne pas y aller car c'est moi qui l'ai appater, mais je dois voir Demoiselle car je le lui ai dit et car j'en ai envie.

Et ma consience parle, c'est la victoire de la raison sur la passion, je décide de le rejoindre, emplie de tristesse car je la déçoit et qu'elle ne me pardonnera peut être pas. Comme le son de sa voix quand je la rapelle pour la prévenir, plus distante, plus froide, je me répète que ce n'est rien, mais j'ai peur. En arrivant à Paris je fais un peu la tronche mais mon esprit relativise et loin de chez moi ma consience la ferme un peu... Mais je suis de retour ici et je la vois en face de moi, ma consience qui me toise et reproche ma légèreté...

Tssss.....

Ecrit par parasitemort, le Dimanche 1 Janvier 2006, 19:59 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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