Je suis lasse de ce monde de fous et soudain je regrette d'avoir tué Chimère et marié Camelont...

On me l'aurait dit je ne l'aurais pas cru, on me l'aurait crié j'aurais simplement ri et détourné la tête. Mais tout cela est la vérité, ou plutôt la vérité qui s'offre à moi car nous voyons tous le monde de mnière différente, donc je ne sais pas si ce que je dis n'est pas un mensonge inventé par mon esprit....

Tes promesses ont le goût amer des mensonges...

Cette phrase, elle se glissait en moi depuis deux jours et s'enfuyait aussitôt, je viens de la capturer et de la coller de force sur ma page, elle se débat, hurle de rage et de fureur, je ne la regarde pas pour ne pas être prise de remords.

Est-elle une abbération de mon esprit elle aussi ? Sûrement mais je ne sais pas, les promesses je les hais, les mensonges aussi, la vérité avec eux.

J'aimerai brûler, qu'on arrête de m'insulter sur mes complexes, qu'on cesse de me voir, devenir une ombre, un être sans vie, un rêve éveillé doux et tranquille.

Mais ces paroles sont celles d'une folle, l'asile n'est pas celui que l'on croit, on peut y vor le mot "refuge" mais aussi le mot "hôpital"... Lequel de ceux deux là est mon asile ?

Aucun, il est néant, refuge, folie, passion, cruauté, perversité, amour, mort, sommeil, et encore folie... Je souffre de ne plus trouver sa porte et de voir son réconfort se refuser à moi...

Ecrit par parasitemort, le Mardi 6 Septembre 2005, 09:04 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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