Comme un funambule..
Je vole, je flotte, comme mes pierres. Je suis aussi très ébervée et je ressens au fond de mon être un sentiment de frustration assez étrange. Je ne me sens pas bien, j'ai envie d'être mauvaise, de profiter un peu. De quoi ? De sa crédulité.
Et quand Demoiselle a rementionné le fameux beau jeune homme en employant son surnom de l'époque, Blondinet, je crois que j'ai eu envie de me jeter par la fenêtre. C'est animal ce que je ressens pour lui, ça ne m'a jamais fais ça, je le veux, c'est comme avec un jouet, je le désire avec moi. Même si je sors avec un de ses amis et que je ne nie pas tenir beaucoup à lui. Mais... je ne sais pas, il m'attire c'est horrible, et j'ai ce sentiment d'avoir l'obligation de le revoir pour cofirmer ou non mon hypothèse. Et peur que cela se confimre. Surtout si je ne peux jamais l'avoir.
Mais je peux partager, ou me partager plutôt. Profiter des deux et d'autres encore me plairait énormément, mais on m'a dit que dans notre société, ce n'était pas possible. Dommage.
Je me sens comme une funambule avec l'autre, trop de choses que je peux pas dire car je le tuerai, et mes méchancetés calculées qui n'atteignent pas le centième de ce que je pourrai lui faire. Je ne le fais pas, car je n'aime pas les affrontement sérieux, ils demandent effort et parfois diplomatie.
Il est dommage que la polygamie ne soit pas acceptée.
Ecrit par parasitemort, le Mercredi 25 Janvier 2006, 20:19 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".