La fourberie est un vilain défaut

Et... Et on s'en fout. Mais ce n'est pas bien de mentir. et énervement alarmant car je n'ai rien à dire, tristement rien, violemment rien, voilà que je me plains d'être heureuse.

J'en ai assez, une si belle chanson que je n'arrive pas à mettre, assez car je suis fatiguée, assez car je manque singulièrement de ma dopamine hebdomadaire. Cruellement je dirais, je me morfond chez moi alors que c'est pas là que je veux être, c'est stupide mais c'est sa peau que je veux, sa chaleur, son énergie. Il me rend plus forte. PLs mauvaise parfois mais je crois que c'est asse positif. Sauf pour lui bien sûr. La fin sera terrible je crois. Vu comme on est parti. Ou plutôt comme il croit qu'on est parti. Hier je lui ai signifié sans assez de subtilité que je ne l'aimais pas.

"Vas-y vas-y, pose moi toutes les questions que tu veux, j'ai droit à un joker.

-Et si je pose de fois la même question de façon différente ?"

- Ca compte pas, le sens doit être différent.... T'as pas de question ?

- Si mais... C'est les mêês que celles avec lesquelles on a eu des problèmes.

-Alors les pose pas t'as raison."

Rire, puis détournement de sujet, ça commençait à chauffer. Mais quelle idée de tendre de telles perches... J'étais déstabilisée dans le metro en allant au COP. Tellement que lorsque je suis arrivée sur le quai avec le metro déjà là, je ne me suis pas pressée, je suis entrée et les portes se sont fermées devant moi. Et je n'étais pas au bon endroit ma correspondance était loin. Puis en rentrant, j'ai failli me faire écraser, j'ai mal calculer la distance entre moi et la voiture, je voulais y aller au passage piéton mais il y avait d'autres gens et ils passaient pas, et la voiture est arrivée en trombe. J'ai eu un pincement au coeur en me disant que si j'y étais éllée, je me serais faite renverser.

Je hais les belles mères.

Je comprend la haine de toutes les jeunes femmes. En plus c'est même pas leur faute, mais elles existent et c'est déjà trop, elles vous pourirssent une soirée par leur seule présence, c'est énervant. Pauvre con....

Vive demoiselle, sans elle je ne lui aurais même pas dis au revoir, mais bon elle est là pour contrer mon effroyable fierté...

Notre devenir à tous semble bien hasardeux ces jours-ci, le vent se lève enfin, après le calme, je sens la tempète venir. Mais elle ne me semble pas destiner. Dommage, je préfère souffrir les embruns, les combattre et me plaindre, plutôt que de voir souffrir ceux que j'apprécie. Au moins, je saurais quoi faire.

Un peu moins inutile.

Ecrit par parasitemort, le Samedi 14 Janvier 2006, 21:57 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

Repondre a cet article