Dream.

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C'est Noël, c'est Noël, enfin demain ce sera. Je suis satisfaite de cette année. Non, pas du tout, juste... J'ai vieilli cette année, j'ai été obligée d'abandonner pas mal de choses et en accepter d'autres, forcée d'oublier de vieux rêves pour une réalité qui n'est pas dépourvue de fantaisie. C'est positif car je vis des moments excellents, mais un peu triste car je me rends compte que je ne ferai jamais tout ce que j'ai envie de faire. Mais je suppose que le monde entier est dans ce cas là, plus ou moins.

J'ai rêvé que j'étais au lycée, en cours avec mon prof de français de 4e, il fallait réciter une poésie et moi je n'avais rien fait. alors je suis interrogée, je sèche totalement, j'ai un sursis jusqu'au lendemain. Pourtant j'essayais de l'apprendre pendant que les autres passaient mais j'y arrivais pas alors qu'en principe il me faut 5 minutes pour mémoriser un poème. Après c'est la fin de cours, mais on sort en avance et notre proviseure principale nous laisse pas nous en aller, on est samedi matin 11h49 et ça sonne a 12h20. Ca m'énerve, il y a aussi la mère de Demoiselle qui soutient l'autre conne et Sell et Demoiselle avec qui je parle et Agathe.

Puis bizarre tout se transforme, je me retrouve avec des mecs armés dans un semblant de ville déserte, y d'autres mecs qui veulent nous tuer alors un sadique propose un jeu, ils coupent l'électricité, toute la ville dans le noir et les deux groupes s'entre-tuent jusqu'à ce qu'un des deux clans disparaisse. Un quart d'heure avant l'extinction des feux. On va dans une maison, on ferme tout à clef sauf l'entrée, je sabote le plancher derrière une porte à l'étage pour qu'un mec y tombe en défonçant le battant. Noir.

Un des mecs avec moi, sort en disant que c'est pas marrant de se terrer, il va à leur rencontre en massacrer quelques uns. On le regarde partir en silence. Des bruits de coups de feus et sur le panneau lumineux qui décompte les points on voit ceux de l'adversaire baisser puis c'est nous qui perdons un point. Le silence retombe. Il leur reste 3 hommes, nous 5.

Puis une explosion dans la maison où on se cache, moi je mettais des bottes alors j'étais agenouillé, donc je n'ai rien eu, les autres, je sais pas. Puis un bruit bizarre, des gazs toxiques, il faut sortir, mais on sait qu'e sortant on va se faire descendre. Je suis morte de trouille. Je me précipite à l'extérieur avec mes camarades...

Je me réveille.

Ecrit par parasitemort, le Samedi 24 Décembre 2005, 12:42 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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