En bas, au fond. (suivi de en haut au sommet)

... Hum, je joue comme un pied, c'est à se demander... si j'ai jamais appris à jouer, je perds tous, et je gagne à peine contre des taches. C'est misérable. Mon adversaire joue comme une merde, ça me déçois et je me sens faible aussi car je devrais l'exploser.

Et ces chansons déprimantes qui me passent dans la tête et il joue du bidon pour que je me plante, mais j'me concentre et ça va, pour une fois. 

Hum... L'autre crétin il a toujours mal à sa cheville, ça me donne pas envie de le voir, je ne veux pas le contempler boitillant devant moi, avoir l'occasion d'éprouver de la pitié pour lui... Non car c'est pas censé être n'importe qui. Je ne veux pas le mépriser ou le trouver con avec ses béquilles.

Bon suite après un interlude 30 minutes, le temps de finir la partie, de la faire commenter, de recevoir un coup de téléphone, puis un deuxième. Dépression et mauvaise humeur un vendredi... on aura tout vu. Bon sang.

Je hais les grévistes. Allez tous vous faire foutre, vous méritez de crever. Parce que moi ça me fais bouillir. Ils travaillent 25 heures par semaines, ils sont invirables, ils ont un salaire correct, étayé d'une demi douzaine de prime dot la prime de "pas de prime" au cas où il en aient pas assez... Alors bon. Qu'ils la ferment putain. Je suis peut être extrémistes mais ils devraient être virés, faire grève alors qu'il y a des gens qui mendient dehors ou qui sont exploités en Chine et partout. Eux ils se la coulent douces. Alors merde.

Et voilà. Pas un seul RER sur ma ligne entre 9h et 16h...

Nouvel interlude de 30 minutes. Heuresement que vous attendais pas mon article sinon vous trépigneriez. Bon...

Comme ça va mieux. Depuis le dernier paragraphe. Je devrai même séparer ceci en plusieurs articles tellement ils sont opposés.

Je n'aime, je n'aime, je n'aime que toi....

Pour ma Demoiselle d'abord pas pour la sous loque qui s'est foulée la cheville. Muahaha je l'imagine grimper les 300 marches de polytechnique en béquilles. Trop bon. Après un tel spectacle je pourrai mourir je pense. Ah, que la vie parait simple soudain. Tout ça parce que j'ai trouvé une solution pour aller à Paris et que ça me suffit.

Est ce que je suis en pleine dégénéresence ? Je n'en doute plus maintenant, je me réjouis de son malheur. Le seul truc qui fait que ça m'énerve parfois c'est que le fait de le voir faible va me faire me rendre compte qu'il est à ma merci et donc je sens que je vais devenir ignoble avec lui, ou tout du moins terriblement supérieure. Catastrophe. Si je me sens supérieure, je n'ai plus de respect, je le méprise, le délaisse, et... Fini, fin de l'histoire.

It's too sad : ) Hum. Non. Je veux juste ma vengeance, son coeur dans ma main et la serrer et le voir crever de dépit. Que c'est bon de se dire ça. Un jour j'aurai ta peau, tu seras punaisé sur mon mur comme un papilon pris au filet.  

Ecrit par parasitemort, le Vendredi 9 Décembre 2005, 18:50 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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