J'aime, j'aime pas.

J'aime un jour, je méprise le lendemain, j'aime ses caresses, délaisse ses mains... Je n'aime pas être moi, je suis autre, je voudrais partir, m'envoler loin d'ici.

Je l'aime pas, je l'aime pas. Et pourtant.... pourtant j'ai... 

Non, je n'ai rien. C'est dur de se museler.

"Je t'aime de plus en plus"

Et moi je me demande ce que je fous avec toi. Mais je ne peux nier un certain attachement, et j'éprouve aussi un certain plaisir à foutre ma vie en l'air. J'exagère, comme toujours. Et ma mère qui ne sait rien, et je voudrais lui dire. Tout la vérité depuis le début. N. en mai, juin, puis désillusions, réalité, peur, malaise, et oubli, indifférence, apathie. Puis amitié et cette affcetion avec l'autre qui arrive. Je me souviens à la fête où ça a commencé avec Z.

Mais encore une fois je la ferme.

Parce que mon public me connaît un peu alors.... Non, juste une personne qui a ce blog et qui est trop prude pour comprendre, pudibonde comme on dit chez moi.

Mes parents sont allés au rugby hier soir. Voir le match. Ils ont aimé, tant mieux, j'aime voir ma mère heureuse. Et les entendre faire leur debriefing de la soirée, analysant chaque changement parlant du mec déguisé en curée à côté d'eux qui beuglait "Hey, le 6, je l'ai vu, il a plongé, on est pas à la piscine ici !!" (au rugby il est interdit de plonger (=se jeter par terre) pendant une mêlée) ou encore "Ca servait à rien de le remplacer ce joueur, ils ont mis le même à la place !"

Bref, ils se sont amusés. Tant mieux, ça m'a fait rire.

M. Machin De La Tour(decontrôledelaéroport) Sorti du contexte, ce jeu de mot ne vaut rien, mais je l'aime bien quand même...

Ecrit par parasitemort, le Dimanche 27 Novembre 2005, 14:02 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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