Un matin parisien... des rêves dans la tête

Je pense donc je suis.

non, non et non... Ce n'est pas ça... Les machines sont capables de penser, elles raisonnent presque comme nous à présent. Bientôt elles seront capables d'avoir un vécu...

Je rêve donc je suis...

C'est cela, un robot ne rêve pas, un robot ne pourra jamais rêver, c'est trop abstrait, trop irréel. Et à la fois il y a tant de vécu personnel derrière tout ça.

Machine qui pense, machine qui danse...

Mais machine ne rêve pas.

Elle n'en éprouve pas le besoin.

Hier, j'étais avec mes deux amis, j'étais épuisée. Je me suis allongée sur le lit et j'ai commencé à somnoler... Dans ces brumes comateuses, je ne pensais plus à rien, ou plutôt je rêvassais sans aucun contrôle. On m'a pourtant dis à mon réveil que lorsque l'on me demandais si je dormais, j'ai répodu non à plusieurs reprises, j'ai aussi refusé du thé, participé à un débat sur les boissons déthéinées puis un autre sur Muse... Par monosyllabes. Mais je répondais à l'appel de mon prénom. Je n'ai aucun souvenir de tout cela. C'est amusant de le savoir après coup.

Ce matin était merveilleux, le fois mordant sous un soleil lumineux, le vent dans les cheveux... L'odeur des croissant chauds qui semblent n'être là que pour nous, la télévision alumée qui débitent ses stupidités sans qu'on les écoute.. Un matin parisien, un rêve empli de charme et de douceur.

Hormis cela, j'ai rencontré un jeune homme de 21 ans, un peu vieux peut être, mais les cinq années de différences ne se voient pas tellement... Il me plaît bien, j'ai beau ne pas croire en l'amour, j'avoue espérer un peu.. Et puis au pire, il sera toujours une proie facile et amusante...

J'attend le week-end prochain avec impatience pour le voir revenir au club... Ou pas...

Ecrit par parasitemort, le Dimanche 18 Septembre 2005, 14:01 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".

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