Pourquoi disent-ils toujours les mauvaises choses au mauvais moment ?
Cela a débuté il y a déjà plus d'un an, dire oui alors qu'il fallait dire non, pour ne pas faire de peine, pour ne pas blesser... Et au final, c'est moi qui me suis fait mal.
Après, j'ai dit non quand il fallait, mais le regret arrive bien vite, car on est curieux de ce que l'on a pas goûté, alors qu'on se lasse si vite de ce qu'on possède...
Alors, cela fait un partout, un oui, un non, et là, je dois refaire un choix. Je ne l'aime pas, enfin je crois, mais c'est un bon ami quand même, et je ne veux pas lui faire de mal.
En fait non, ce n'est pas ça... C'est moi qui ne veux pas souffrir. Si je dis non, on ne sera sûrement plus ami, alors ça m'embète, mais sortir avec quelqu'un que je n'aime pas...
Pourquoi ils disent toujours les mots qui cassent tout ? On aurait pu passer de merveilleux moments entre potes, à rire et à délirer, mais il a fallu qu'il en veuille plus, qu'il dépasse les limites et que finalement, il n'ait plus rien...
Qu'il aille se faire fou...,
Oui, tu penses à moi tous les jours depuis ce samedi au cinéma, tu crois que tu m'aimes, mais crois moi, tu oublieras vite, j'ai trois ans de moins je te le rappelle, je ne me vois pas avec un garçon comme toi, trop bavard et pas assez discret, un ami parfait tu me diras... Oui, mais pas un petit ami. Je suis navrée, c'est non, tu es triste, non... Tu ne peux pas éprouver de chagrin, alors que je m'en moque... C'est un paradoxe avec le début de cet article mais je crois que te faire de la peine ne me gène pas, tu me prives juste du plaisir de te revoir comme ça, pour plaisanter... Alors, tu t'en vas ? Non ? Tu espères encore ? je te l'ai dit, je te le hurle et te le jette à la figure s'il le faut... Non, je ne le ferai pas, car je me souviens qu'il y a dix minutes tu étais encore quelqu'un que j'aimais bien...
C'est si décevant de lire ces mots de ta main, de voir que tu peux t'attacher à une fille comme moi, je devrais être une gamine à tes yeux, la petite soeur de C. tout simplement...
Pauvre con, barre toi de là, je suis navrée, mais, le oui est impossible... Au revoir et qui sait... Peut être resterons nous amis ?
Ecrit par parasitemort, le Lundi 12 Septembre 2005, 17:48 dans la rubrique "Pensées d'aujourd'hui".